La transition bas-carbone nécessite de très importants investissements en ressources, en équipement, en matériel.
C’est la face connue du défi que toutes les entreprises connaissent.
Toutefois, pour devenir une réalité, la transition bas carbone suppose également la migration très rapide d’usages, de profonds changements d’habitudes et le consentement des acteurs à de telles évolutions.
La transition bas-carbone des flottes de véhicules professionnels n’y échappe pas. La réussite relève avant tout d’un changement d’usages – vers une conduite plus sobre – et d’habitudes – vers un choix de véhicules plus propres – solidement ancrés.